Madonna: pour le meilleur, et pour le plaisir

Publié le par LvonFurstenberg

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Addicted to...MDNA


Les commentaires fusent sur la toile, les mondes Twitter et Facebook se rejoignent sur un même débat : le nouvel et douzième album de Madonna, purement baptisé : MDNA.

M, l’initiale d’une star internationale, d’une icône : la seule, l’unique, celle qui perdure, depuis des années, et nous étonne par sa beauté, son talent,  et sa provocation fulgurante.

DNA, comprenez ADN. Comme si ce qui composait cet album, tant en musique qu’en paroles, était synonyme de ce qui forge et compose l’art et l’esprit de la reine de la pop.

Et si, comme moi, vous vous attardez encore à passer en boucle « Ray of Light », et provoquez volontairement une nostalgie troublante avec le dernier best-of « Celebration »,  il n’en reste pas moins que ce dernier opus a l’effet d’une bombe. 

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De nombreuses collaboration en font un objet rare et précieux : Martin Solveig, Benny Benassi, LMFAO, Nicki Minaj ou encore M.I.A. Notre Material Girl grandit aux bras de ces jeunes artistes, qui aujourd’hui aspirent à de nouvelles tendances musicales.

La phénoménale se mélange aux nouveaux phénomènes. L’objectif ? Prendre d’assaut les dances-floors, et conserver l’image d’une jeune ado qui n’a pas pris une ride depuis « Like a Virgin », mais qui a l’intelligence d’évoluer avec son temps, et de séduire, over and over.

Sexy, dynamique, déjanté et même féministe avec « Gang Bang » : à l’instar de Madonna, MDNA nous offre un florilège de titres électro-dance qui n’ont pas fini de faire bouger le monde.

Avec une voix sucrée et des danses torrides dans le clip Girl Gone Wild, bref rappel aux année 90, Madonna se transforme en diva explosive et convaincante, preuve que la reine de la pop n’est pas déchue. Son règne ne fait que commencer.

 

Rendez-vous pris au Stade de France, le 14 juillet 2012 !

 


The Camille Diaries


Publié dans Musique

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