ECS 2: la fin d'une belle histoire

Publié le par LvonFurstenberg

breakfast-at-tiffany-s.jpg

 

Vendredi 20 avril 2012

 

L'ère d'un temps s'achève. Tout est vide et semble soudainement si étrange. Les pièces hier encore habitées par la présence de lions en quête d’avenir, mais aussi de rires quelque peu indiscrets, de gossip en tous genres, et  animés par des mots évocateurs tels que brand journalism, retroplanning, ambush marketing, et d’autres tendres et amicaux que seules les véritables amitiés savent révéler, ont laissé place au silence, aujourd’hui perturbé par cette musique printanière qu’une fenêtre oubliée laisse chanter librement, annonçant le début de l’été.


Une deuxième année s’achève, emportant avec elle un nombre inquantifiable de bons souvenirs, et une dose légèrement épicée de coups de gueules sarcastiques.


Durant les 7 derniers mois, de nouveaux liens se sont créés, alors que d’autres se sont défaits, effacés avec le temps. Il  est remarquable de voir au combien les gens changent, évoluent, s’intéressent à d’autres ou bien les ignorent.

Et de ces aventures, il ne nous reste aujourd’hui que le meilleur.


Passer 7 mois à l’ECS Strasbourg, c’est assez de temps pour comprendre que nous n’en auront jamais assez. C’est apprendre à mieux se construire, à se perfectionner, à s’enrichir de toute sorte de savoir, et à poursuivre ses rêves d’avenir dans un monde toujours aussi captivant et entraînant qu’est celui de la communication.

Parce que notre créativité n’a jamais été aussi bien exploitée, et que l’imagination, insouciante pour certains, incessante pour d’autres, nous a appris à garder les yeux et notre esprit bien ouverts sur le monde.


L’aventure ECS n’est pas encore terminée. La suite, dans 5 mois.


 


The Camille Diaries

Publié dans Journal

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article